Que savoir de l'augmentation des prix de l'immobilier en Suisse ?

Investir dans l’immobilier est synonyme de dépenser. Le marché de l’immobilier est presque insaisissable. Mais si vous étudiez de très près l’évolution de ce marché, vous pourrez savoir quelle position adopter afin d’en profiter. Dans cet article, nous allons vous donner des informations qui vous permettront de comprendre l’évolution du marché de l’immobilier en Suisse lors des dix dernières années et en 2022.

L’évolution du marché de l’immobilier sur les dix dernières années

Ces dix dernières années, le prix des immeubles a connu une véritable hausse. On parle d’un taux qui est monté à plus de 30%. Si vous avez envie d’en savoir plus, nous vous invitons à voir ce site . En effet, comme dans tous les pays, il y a des villes et des cantons qui enregistrent les plus forts taux d’évolution du prix de l’immobilier suisse. Ainsi pour dire que l’évolution n’est pas homogène et ne concerne pas toutes les villes. De 2010 à 2022 à Genève, le prix de l’immobilier est passé de 7871 à 10734 CHF/m² soit une évolution de plus de 36%. À Neuchâtel, la tendance est un peu en baisse par rapport à Genève. On note une évolution passée de 4047 à 7334 CHF/m² de 2012 à 2022, soit un fort taux de plus de 81%. À Lausanne, l’évolution est aussi différente. De 7590 à 10934 CHF/m² entre 2012 et 2022, soit plus de 44%. Cette évolution concerne les appartements.  En ce qui concerne les maisons, on est allé de 6172 CHF/m² à 9761 CHF/m² dans l’intervalle 2019 à 2022, soit un taux de plus de 58%. À titre de remarque, il faut noter que cette évolution n’a atteint en rien l’onérosité des villes autrefois chères. De même, les villes abordables le demeurent. Juste que les prix ont accru. Voyons ce qu’il en est de l’évolution en 2022.

L’évolution du marché de l’immobilier en 2022

L’évolution qui a eu lieu en 2021 n’a pas connu une régression. Même si on croit que la crise sanitaire du Corona Virus fera décroître le taux d’évolution, la surprise est bien là. La réfaction des immeubles disponibles a relancé le graphe qui ne cesse de monter. Les villes comme Zürich, Bâle ou encore Zoug sont toujours chères et n’ont rien perdu à leurs valeurs pécuniaires. On attend que les taux baissent, car les taux d’hypothèque montent déjà dans le pays.